My name is B.

My name is B.

Vendredi 27 mars 2015

Après la galère de la semaine, rentrer chez moi et me passer un bon film me paraissait essentiel. Mais en ouvrant la porte de mon palace, je découvris gisant sur le sol une lettre signée S.M. Pris d’effroi en voyant ces initiales (Encore une mauvaise rencontre de soirée ?), je m’empressai de la saisir pour men débarrasser; lorsqu’au je vis au dos, l’adresse de mon terrifiant expéditeur : 007 S.Street.

« S.M pour Sam Mendes voyons ! Sans doute m’envoie t-il de charmantes photos de Léa Seydoux au bord d’une piscine en plein mois de juillet m’écriais-je ! »

Rapidement vexé en ne voyant qu’une pauvre clé usb Lidl, même pas logoté Spectre (Encore une restriction de budget de la Metro Goldwyn Mayer), je me rends à l’évidence; le corps de rêve de ma chère Léa ne peux pas tenir dans ces pauvres 250mo…

Par respect pour mon vieil ami Sam, je décidais alors d’insérer cette clé dans mon incroyable macbook pro 16 pouces intel cor 4.0 (tmtc ma gueule).

Le teaser se mit alors en route, et me voilà parti pour 1:36 de pure jouissance Barthesienne. (Faut bien le caler, c’est son centenaire). Intrigue à couper le souffle, nous voilà repartis pour une nouvelle aventure « Inside » Bond, un véritable retour aux sources.

Sam, mon Sam, tu es un magicien, et je n’ai qu’une hâte : Quand est-ce que tu me montreras Léa! Bon Monica Belluci, on la connaît, y a pas plus sensuelle que la « Donna » du cinéma Français. Mais Léa, la petite Léa, j’aimerai bien savoir si pour une fois, elle nous fera un film potable. Mais connaissant ton génie, tu as du te rendre compte de ta bêtise : Léa elle ne joue pas au cinéma, elle montre son cul.

Et c’est ainsi, qu’une fois le teaser de Spectre visionné, je me suis confortablement installé devant un film de Léa Seydoux. Au moins j’étais sur d’une chose : j’allais pouvoir me rincer l’oeil.

B.