ÉDITO n°1. “Adèle”: 14/20 au lit, mieux ou moins bien en salle?

Adèle

     Que celui qui n’a pas entendu parler de La Vie d’Adèle interrompe immédiatement la lecture cet édito, notre premier Dossier «Circonstances Critiques» consacré au nouveau film d’Abdellatif Kechiche n’aurait alors plus aucune raison d’être…

     En effet, il nous a semblé à tous et à toutes que La Vie d’Adèle, film troublant sur les premiers émois lesbiens d’une jeune adolescente, couronné de la palme d’or en 2013 et accompagné dès lors d’un battage médiatique hors norme, méritait un Dossier Critique Spécial -dossier Critique Spécial auquel plusieurs membres de la Celsathèque ont bien voulu apporter leur concours. Que ce soit le rapport à la nourriture de cette jeune et vorace Adèle, «ogresse» dont la manducation bruyante, haptique et hypnotique (des pâtes bolo aux huîtres, et des huîtres aux kebabs …) ne cesse d’envahir l’écran, aspect auquel s’intéresse un article intitulé La chair et la chère dans la Vie d’Adèle; que ce soit la course amoureuse effrénée des personnages qui ait pu frapper d’enthousiasme les spectateurs comme le rappelle La Vie d’Adèle ou la Vie tout court ; ou que ce soit encore l’ensemble du film que l’on puisse considérer comme une jolie fable sur la déperdition adolescente comme l’évoque un autre article intitulé Les jolies mésaventures d’une ado en perdition : décidément, ce film ne laisse pas de marbre, et comme Adèle, on ne peut que se retourner au passage de ce film aux cheveux bleus.

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M. PARLONS

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