Édito n°3: “SNOWPIERCER”, ce train infernal est-il sponsorisé par la S(NC)F ?

 Snowpiercer

     Alors que nous avons déjà consacré un premier dossier à la palme d’Or de 2013, La vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche, puis un deuxième à la prouesse technologique récente d’Alfonso Cuaron, Gravity, et que nous nous apprêtons à en sortir un quatrième sur le nouveau film des frères Coen co-écrit avec des membres du Ciné-Club de l’EDHEC, il nous a semblé que nous pouvions également consacrer un troisième dossier au nouveau film de Bong Joon-ho, Snowpiercer.

Bien entendu, nous avons encore fait participer de nombreuses nouvelles plumes pour ce nouveau dossier, consacré à un film de “Science-Fiction” digne de ce nom: que ce soit la plume enflammée d’un cinéphile toulousain, dans l’article Snowpiercer: quand la SF sait se tenir, ou la plume d’un de nos rédacteurs celsien qui avait également participé au dossier de la semaine dernière sur Gravity, dans l’article Le Transperceneige transperce-t-il les coeurs ?.

En effet, aussi vrai que cette histoire hautement allégorique est celle d’une révolte déclenchée par de pauvres prolétaires dans le dernier wagon d’un train filant à toute vitesse dans un monde post-apocalyptique dans l’espoir fou de parvenir à franchir un à un les compartiments qui les sépare d’une tête du train supposée paradisiaque, notre but est d’ouvrir peu à peu les portes étanches et blindées des compartiments qui séparent notre subjectivité de celles des autres cinéphiles afin de partager nos avis, si différents soient-ils, sur les films.

En espérant que vous arriverez tous à la locomotive de ce train apocalyptique, dans un pays aux neiges éternelles, sponsorisé par la SF.

M. Parlons

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